Organisé par : Paul Ardenne , , 75003, Paris | | Francois Boisrond, Tïa-Calli Borlase, Miguel Chevalier, Aurélie Dubois, Philippe Dupuy, Orsten Groom, Ange Leccia, Claude Lévêque, Filip Markiewicz, Alexandra Mas, Myriam Mechita, Frank Perrin, Agnès Pezeu.
Commissariat : Paul Ardenne
Honorer le rapport intense d’Henri-Georges Clouzot (Le Corbeau, Le Salaire de la peur, Les Diaboliques, La Vérité, La Prisonnière, L’Enfer…) avec l’art de son temps en donnant une « suite contemporaine » à cette dilection. Faire travailler une douzaine d’artistes contemporains sur l’univers de Clouzot, tous médiums confondus. Privilégier une lecture originale émanant de créateurs plasticiens dont la culture cinématographique est ultérieure à l’ère Clouzot. Chaque artiste sollicité ici par le commissaire de cette exposition, Paul Ardenne, écrivain et historien de l’art, se voit proposer la réalisation d’une œuvre inédite en rapport direct avec l’univers cinématographique d’Henri-Georges Clouzot.
« Henri-Georges Clouzot et les arts plastiques. Une suite contemporaine » offre l’occasion d’évoquer, selon une modulation autre que cinématographique, les grands thèmes chers au cinéaste des Espions, des Diaboliques, du Salaire de la peur et de l’Enfer : le mystère, l’angoisse, la noirceur morbide, la trahison, la jalousie, la relativité, l’amour fatal, la folie, la pulsion paranoïaque, le voyeurisme.
Cette exposition a été rendue possible grâce au concours du promoteur immobilier Interconstruction, qui développe depuis 2006 un principe systématisé d’inclusion de l’art dans l’architecture. Chaque programme immobilier est l’occasion d’installer, en son sein, une œuvre d’art.
Au cours de l’année 2018, l’exposition Clouzot et les arts plastiques, une suite contemporaine
accompagnera la rétrospective de ses films.
Elle sera notamment présentée à Niort, ville natale d’Henri-Georges Clouzot (février 2018) et au Lux de Valence (mai 2018) |
| | |