Le nouveau cirque, pour le génial Aurélien Bory, c’est travailler sans clivages artistiques ni frontières géographiques. Les spectacles précédents comme Plan B ou Taoub avec les acrobates de Tanger ont gravé dans nos mémoires des rencontres singulières où l’acrobatie devient l’art premier du talent. Aujourd’hui, il est allé chercher les interprètesélastiques du cirque de Pékin en équilibre fragile sur des triangles de six mètres de haut. Vertige zen.